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Affichage des articles du août, 2018

La chute : à qui la faute ?

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La responsabilité de la division d'un pays, de la lutte fratricide entre ses citoyens, de l'impossibilité de progrès voire de morcellement de l'Union européenne, garantie de paix, de force et d'endurance, du climat de peur n'incombe pas à ceux qui vivent hors de ces pays et de cette Union. On peut même tristement dire que leurs primitives attaques sont de bonne guerre. Il faut reconnaître que l'humanité offre un pathétique spectacle sur cette page du XXI° siècle. La responsabilité revient, sans équivoque, à tous ceux qui vivent dans l'Union européenne et qui sont assez stupides ou assez mesquins pour entraîner 512 millions de personnes dans un désastre dont les sacrifiés mettront une ère à se remettre. Les responsables et les complices de la désintégration de l'unité nationale et par conséquent européenne sont les Institutions européennes, les États membres de l'Union, les gouvernements nationaux de chaque pays membre, des partis politiques, des o

Ce cynisme social exprimé au travers de la moquerie, du sarcasme.

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Les discours, les débats, les commentaires où fleurissent les moqueries, les sarcasmes sont très populaires. C'est un excellent moyen pour attirer des électeurs ou pour faire grimper l'audimat. La presse l'a toujours su, les titres des articles étant à mille lieux du contenu. Est-ce la meilleur façon de répondre au cynisme d'une partie des électeurs ou cela ne sert-il pas à davantage l'alimenter ? Ce cynisme qui ne reflète que suspicion et défiance. Ce cynisme social qui d'attentes de départ trop élevées et déçues des institutions et des autorités serait accru et créerait un sentiment de désillusion et de trahison. Une attente trop élevée parce que les connaissances manquent, parce que les promesses sont mensongères, parce que les commentaires partent dans tous les sens. Parce qu'il n'y a pas de projet commun. Parce que les pays sont aussi morcelés que l'est l'Union. La moquerie utilisée quotidiennement est pourtant une forme de communication

Les critiques dérisoires parce qu'ils sont eux-mêmes dérisoires.

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Dans son article du 3 août 2018 "L'intention ne doit-elle pas l'emporter sur le résultat", votre Magy vous faisait part d'une consultation publique de la Commission européenne auprès des citoyens et autres organismes de l'Union concernant le changement d'heure d'été. Consultation qui vient à terme ce jour. Comme votre Magy vous le mentionnait, il fallait tenir compte de différents critères pour bien exprimer un souhait qui aura un impact à long terme mais aussi que les consultations auprès des citoyens européens sont mal diffusées, peu visibles, que trop peu de citoyens sont au courant. Dans une Union où les informations doivent impérativement et librement circuler, il est plus que surprenant que les pays membres agissent comme des nationalistes et empêchent leurs citoyens de participer à cette Europe qu'ils prétendent dès lors et paradoxalement opaque et cachotière et dans laquelle ils n'ont rien à dire. Que dire justement d'un commen

Notre dernière volonté nous appartient-elle encore ?

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Notre dernière volonté nous appartient-elle encore ? Au nom de tous les droits vomis à l'infini et tout azimut, au nom de tous les tribunaux censés défendre les dits droits : une seule question : notre dernière volonté nous appartient-elle vraiment ? A vrai dire, les décisions qui concernent notre personne, nous appartiennent-elle réellement ? Il semble que non et c'est bien là le danger auquel l'individu est confronté. C'est pourquoi, il ne peut résoudre ses problèmes de société car il continue à se servir de l'humain comme d'un outil pour satisfaire ses névroses et non pas comme point central d'où doivent irradier toutes les décisions concernant son bien-être et son évolution que ce soit au niveau individuel ou sociétal. Durant toute notre existence, la société, formée de citoyens tyranniques, va empiéter sur nos droits individuels, profaner notre bulle et exiger une façon de vivre uniforme qui va bien au-delà des codes et des valeurs

To whom it may concern - A qui de droit

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L'intention ne doit-elle pas l'emporter par rapport au résultat ?

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Voici une question qu'il semble utile, pour votre Magy, de se poser lorsqu'on se trouve face à une décision à prendre qui va bien au-delà d'une "simple" question de droits et de droit alors qu'elle englobe non seulement une possible et différente interprétation des textes mais qui place également ceux qui doivent prendre la décision ou de poser un jugement, face à un cas de figure qui mène en droite ligne à la complexité de la société due à la complexité des individus qui la composent de part leurs différents référentiels, différents objectifs, système de valeurs et modèle de pensées. Elle est aussi utile lorsque, au nom de différents principes primordiaux, des pays amis partageant normalement les mêmes codes et valeurs se cour-circuitent aggravant en cela la problématique posée au-delà de leurs frontières mais aussi au sein-même de la vision que nous pourrions avoir de commun accord concernant le type de société dans laquelle nous souhaitons non seulement v